Le réceptaire est un recueil sur l’usage des plantes médicinales destiné à valoriser les savoirs populaires des pratiques de soins.

L’aspect interculturel du projet est essentiel aux yeux des responsables car il permet de prendre conscience du caractère universel de la pratique des soins à base de plantes. Ce savoir est un patrimoine partagé par l’ensemble de l’humanité. 

De quoi s’agit-il concrètement dans ce projet ?

Le Jardin botanique de Neuchâtel propose de confectionner, avec l’aide de chacune et chacun, un grand livre de recettes de plantes médicinales. L’idée est de valoriser des savoirs populaires issus des quatre coins de la planète. Ce projet interculturel permettra à chacun de témoigner, dans sa langue, sur une page de ce recueil destiné à valoriser les savoirs populaires ainsi que l’universalité des pratiques de soins.

Comment les citoyen·ne·s peuvent-ils participer à la recherche ?

Le projet est ouvert à toute personne souhaitant apporter un témoignage de l’utilisation d’une espèce de plante dans la pratique de soins ausens large. Toutefois, en fonction des témoignages déjà acquis, il s’agira de témoigner sur l’usage d’une espèce de plante qui n’a pas été choisie. Après avoir rédiger le projet d’écriture dans sa langue, la personne qui témoigne viendra écrire, au Jardin botanique de Neuchâtel, dans le grand livre prévu à cet effet. Il écrira notamment son nom afin de confirmer sa participation en tant qu’auteur.e. Le travail complet (rédaction du projet de témoignage puis inscription dans le livre) est estimé à une journée au total (8h).

Que se passe-t-il avec les résultats ?

Lorsque 100 témoignages seront écrits, le projet passera par l’impression du livre manuscrit. Chaque personne ayant participé au projet aura sa contribution signée en bas de page et recevra un exemplaire de l’ouvrage.

Participez depuis votre smartphone pour aider à identifier les animaux sur des images de pièges photographiques prises à travers les Alpes, afin de mieux comprendre comment le changement climatique affecte les espèces et les environnements alpins.

De quoi s’agit-il concrètement dans ce projet ?

Wild Mont-Blanc est un programme développé par le Centre de Recherches sur les Écosystèmes d'Altitude (CREA Mont-Blanc) pour mesurer comment le changement climatique impacte différents environnements alpins et comprendre comment les espèces alpines peuvent (ou non) s’adapter à ces changements.

Dans ce projet, les bénévoles de Zooniverse aident en identifiant des espèces emblématiques telles que le chamois, le bouquetin, la marmotte, le lièvre variable, le cerf, le chevreuil, le lagopède alpin et le tétras lyre, tout au long de l’année et dans des conditions climatiques variées, de la vallée jusqu’aux hautes montagnes.

Comment les citoyen·ne·s peuvent-ils participer à la recherche ?

Pour participer au projet, il vous suffit d’avoir un accès à internet et un appareil (ordinateur portable, tablette, smartphone, etc.). Voir le site du projet et cliquez sur « Commencer ». Un court tutoriel vous expliquera comment effectuer les classifications dans le cadre du projet.

N’hésitez pas à utiliser le forum de discussion « Talk » si vous avez des questions ou si vous souhaitez discuter d’une observation intéressante avec l’équipe de recherche.

Vous pouvez participer aussi brièvement ou aussi longtemps que vous le souhaitez — une minute et une classification, ou toute une vie d’engagement. Toute contribution est la bienvenue et très appréciée !

Que se passe-t-il avec les résultats ?

Toutes les classifications sont intégrées au travail de l’équipe de recherche pour annoter les jeux de données mis en ligne. Chaque image est classée par de nombreuses personnes, et les résultats sont ensuite agrégés afin d’obtenir un consensus.

Les résultats de la recherche sont publiés ici et partagés avec les participants via des bulletins d’information et des articles de blog.

Les participants peuvent partager leurs retours via ce lien.

Participez à un réseau international ! Signalez vos observations environnementales grâce à l'application GLOBE Observer de la NASA.

Quel est le sujet spécifique du projet ?

L'application GLOBE Observer complète le programme international d'éducation GLOBE (Global Learning and Observation to Benefit the Environment) par un service supplémentaire qui est désormais ouvert aux scientifiques citoyens dans les 125 pays de GLOBE. Les observations peuvent être communiquées et visualisées dans une base de données internationale.

Toutes les observations aident les scientifiques à suivre l'évolution des nuages, de l'eau, des plantes et d'autres formes de vie, soutenant ainsi la recherche en science du système terrestre. Les scientifiques peuvent également utiliser vos données pour interpréter les données de la NASA et d'autres satellites. Tout le monde peut participer, y compris les Alumni GLOBE, les enseignants retraités de GLOBE, les familles et toute autre personne intéressée de la communauté locale. Téléchargez l'application, sortez et suivez les instructions de l'application pour observer votre environnement.  Et n'oubliez pas de toujours soumettre vos données à GLOBE.

Les sujets abordés comprennent l'observation des nuages (couverture nuageuse, types de nuages), la description de la couverture terrestre (types de couverture), la hauteur des arbres et la présence de moustiques.

Ce service est mis en œuvre par GLOBE www.globe.gov, avec le soutien de la NASA. Info en Suisse : www.globe-swiss.ch

Comment les citoyens peuvent-ils participer ?

L'application gratuite GLOBE Observer peut être téléchargée sur tous les smartphones.

Que se passe-t-il avec les résultats ?

Les résultats sont saisis dans une base de données centrale et peuvent être consultés sur le site www.globe.gov. Les résultats sont également utilisés pour les recherches de la NASA. En outre, les résultats sont utilisés pour les recherches de la NASA.